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Publicité alimentaire : Un peu d’ère pure !...

Notre alimentation : Saine bactériologiquement ou saine pour notre organisme ?


A en croire la communication de l’agro-alimentaire, la qualité de notre assiette n’a jamais été aussi saine qu’aujourd’hui. Nos fragilités immunitaires, allergies rebelles et autres agaceries digestives n’auraient rien à voir avec ses trouvailles. Tout est théoriquement sain bactériologiquement. Mais la grande ambiguïté, savamment entretenue par quelques groupes de pression depuis certains scandales, repose sur l’idée qu’une alimentation saine est une alimentation irréprochable au plan bactériologique. Certes, c’est un point important et le minimum que nous pouvons attendre d’un produit. Mais à force de pasteurisation, d’ionisation, d’appertisation, de stérilisation, ne tue-t-on pas tout simplement les principes vitaux, nutritionnels, énergétiques de nos aliments, sans compter les conséquences probables de tels traitements sur notre santé ? L’explosion des pathologies auto-immunes, dégénératives, métaboliques ou nerveuses, ne sont-elles pas dûes pour grande partie à la « technologisation » de notre assiette ?


Prétendre qu’un aliment industriel est favorable à la santé, parce qu’il est «propre» au plan bactériologique, qu’il contient des vitamines et quelques minéraux de synthèse, est pour le moins réducteur. C’est pourtant ce que nous assènent les médias et la publicité alimentaire à longueur de pages magazine ou de spot télé. Ne nous y trompons pas; cette réalité est tronquée et ne reflète en rien ce que devrait être un produit sain. Une autre dimension, plus subtile, ignorée des acteurs officiels de la santé, des sciences officielles et de l’industrie, doit être prise en compte si nous souhaitons nous alimenter le plus sainement possible. Il s’agit du principe énergétique, vibratoire, dont est porteuse toute créature vivante. Au plan alimentaire, cette dimension traduit la véritable qualité nutritionnelle et biologique d’un produit. Mais de cela, on ne nous en informe jamais. Et pour cause...


Mangeons sensible


Une méthode, mise au point dans les années trente par l’agronome allemand Pfeiffer, permet précisément d’avoir un aperçu de la vitalité d’une denrée alimentaire. C’est la thésigraphie, ou test des cristallisations sensibles. Méthode morpho-génétique de la qualité du vivant, elle s’appuie sur l’étude des formes que prend, après évaporation, une solution de chlorure de cuivre, mélangée à un substrat animal ou végétal.


Sans entrer dans des précisions complexes, retenons le point suivant : plus la forme après évaporation est structurée, centrifuge, plus le substrat testé est porteur de vitalité. Des expériences ont démontré que les aliments passés au micro-ondes présentent une image désagrégée dans 70% des cas, ou que le sucre raffiné ne structure pas la cristallisation du chlorure de cuivre. Le sucre complet donne, au contraire, des images très organisées (voir photos). Les différences sont également flagrantes entre du pain blanc et du pain complet biologique. Inutile, par ailleurs, de préciser que les préparations industrielles et les produits contenant des OGM ont une signature tésigraphique qui ne laisse aucun doute sur leur nature moribonde. Plus étonnant encore, des légumes respectivement hâchés à la main et au hachoir électrique présentent des images radicalement opposées, avec déstructuration complète du thésigramme pour les légumes passés au mixer !

Il est donc a priori simple de savoir si les marques industrielles et la publicité ne nous racontent pas des balivernes sur les produits qu’elles médiatisent. L’argument-santé, si fréquemment utilisé, est-il à ce point justifié ? La thésigraphie peut apporter les réponses à ces questions fondamentales. Sorte de super détecteur de mensonges au service de la qualité biologique et nutritionnelle des aliments, elle permettrait au consommateur de connaître la véritable nature de ce qu’il ingère. Question traçabilité, aucun souci à se faire puisque, d’une certaine façon, elle serait inscrite dans le thésigramme. N’en doutons pas, les OGM, les résidus de synthèse, les additifs, les méthodes de transformations, influent sur la valeur énergétique des produits que nous consommons. Avec la thésigraphie, nous tiendrions enfin un label intelligent ! Certes, il ne ferait pas plaisir à tout le monde. On peut imaginer la levée de bouclier qu’entraînerait l’obligation d’apposer une ICS (Imagerie de Cristallisation Sensible) sur tous les produits alimentaires. Producteurs, transformateurs, chimistes, publicitaires, distributeurs et consorts seraient ainsi mis au pied du mur. Quid alors des belles promesses qu’avancent les marques ? Posons-nous d’abord la question, en tant que consommateurs responsables, de savoir si celles-ci sont fondées ou, ce qui est plus probable, si elles ne sont que des leurres imaginés par le marketing pour nous faire acheter.


Vers la transparence industrielle ?


Si quelques audacieux fabricants souhaitent prendre une longueur d’avance sur la concurrence, et à condition qu’ils soient sûrs de la qualité biologique des ingrédients qui composent leurs produits; alors un conseil : qu’ils ajoutent une ICS sur l’étiquette ou l’emballage. Il n’y aurait alors rien de choquant à gagner de l’argent avec un produit conforme à la biologie et au maintien de la santé du consommateur, dont la publicité aura tenu le juste et honnête discours. Et cela, sans sacrifier le moins du monde à sa légendaire créativité.


Déjà, dans les années soixante-dix, le biologiste Mirko Beljanski avait mis au point un petit test biochimique appelé oncotest. Ce test permet de déterminer si une substance est cancérigène ou non. Lorsqu’il présenta son invention à des instances officielles, elle fut rejetée en raison de sa trop grande...efficacité. On connaît le sort qui fut réservé à ce chercheur... Il ne faut donc pas trop rêver, mais nous pouvons au moins espérer !


Jérôme d’Arcy.

Jérôme d’Arcy à travaillé pendant plus de vingt ans dans la publicité. Aujourd’hui naturopathe-iridologue au Centre Le Némo à Montpellier, il est également Directeur du Collège de Naturopathie Rénovée André Lafon de Montpellier, auteur et conférencier.

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